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Les Archives sur l’illustrateur Pierre D. Lacroix

« Ils ont écrit »

(Extraits de commentaires qu’on a écrit sur Pierre D. Lacroix dans les revues et fanzines.)

 

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A

L’Annonce Bouquins #68, mars 1991 (Temps tôt #9) :

(…) En pages centrales, un superbe port-folio de Pierre Lacroix.

 

L’Annonce Bouquins #69, avril 1991, p66 (TT#9) :

(…) dessins de Lacroix (mais pas la bannière tant que c’est bô), en somme un zinouillet bien foutu (…).

 

L’Annonce Bouquins, juin 1991, p4 et p68 (TT#11) :

(…) aidé ici par Pierre Lacroix au dessin et à la critique de parutions. (…) avec le retour de Pierre Lacroix côté critiques de parutions zines francophones.

 

L’Annonce Bouquins #76, décembre 1991 (TT#15) :

(…) de splendides dessins de Pierre Lacroix, le tout conçu et maquetté avec goût.

 

L’Annonce Bouquins #81, mai 1992, p60 (TT#17) :

(…) Un travail de qualité enrichi de somptueux dessins de Pierre Lacroix.

 

L’Annonce Bouquins #84, septembre 1992 (TT#19) :

(…) Le tout se compose de 64 pages en A5 sous couverture cartonnée et mérite qu’on s’y attache, d’autant que ce numéro offre en sus un superbe signet de Pierre Lacroix.

 

L’Annonce Bouquins #87, décembre 1992 (TT#21) :

(…) Sans oublier les splendides dessins de Pierre Lacroix qui occupe même la double page centrale avec des visages de femmes plus beaux les uns que les autres.

 

L’Annonce Bouquins #93, octobre 1993, p68 (TT#25) :

(…) Également dans ces 64 pages, de superbes dessins pleine page de Pierre Lacroix…

 

L’Année de la Science-fiction et du Fantastique Québécois 1989 :

(À propos de «L’Horreur est humaine» aux Éditions Le Palindrome) …Depuis la disparition de Carfax, il n’y a plus guère de fanzine ou de revue où les auteurs d’horreur peuvent publier. Le choix de Pierre Lacroix comme illustrateur de la couverture apparaît, dans ce contexte, comme allant de soi et il réalise un beau travail de graphiste.

 

L’Année de la Science-fiction et du Fantastique Québécois 1990 :

(À propos de la revue Temps tôt) …À sa deuxième année seulement, Temps tôt a atteint un rythme de croisière remarquable tout en améliorant la tenue générale de sa présentation et de son contenu. Le mérite en revient d’abord à Christian Martin qui a rapidement apporté les correctifs nécessaires (,,,) mais il ne faudrait pas oublier la contribution de Pierre Lacroix qui signe les sept couvertures et qui agit comme conseiller pour la présentation visuelle du fanzine. Une belle petite équipe. Les talents de Pierre Lacroix comme fanéditeur en sont plus à démontrer.

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B

Bidchiren, Olivier (de la revue Micronos / extrait d’une lettre envoyée à Christian Martin de la revue Temps tôt / 11 juin 1992) :

(…) Enfin, peux-tu transmettre à Pierre lacroix que nous serions heureux d’accueillir ses illustrations en couverture des prochains numéros (Micronos); j’aime énormément ce qu’il fait.

 

Bolduc, Claude (écrivain / extrait d’une lettre envoyée à Christian Martin de la revue Temps tôt / 23 avril 1992) :

(…) Quand j’ai vu les illustrations de Pierre Lacroix, je me suis dit « Ciel!, un Whittakeux! ». L’illustration avec ce curieux animal contient plus d’éléments du recueil (réf. : Visages de l’Après-vie). Elle est peut-être préférable. Par contre, l’autre --- j’aime bien sa dimension colossale --- est tout aussi réussie, avec le Très Gros Orteil du Grand Tripoteur. Mais puisqu’il faut choisir, va pour le whittakeux. Si bonnes que je vais voir si je peux faire laminer ces deux petites illustrations. Pierre, c’eest mon meilleur.

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C

Carnage Mondain #32, 1989 (TT#1) :

Le numéro 1 de Temps tôt propose nouvelles, BD, fantastique ou humour; dossier illustrateur, avec l’aide de Pierre Lacroix, homme à tout faire du fandom québécois.

 

Carnage Mondain #37, mai 1990, p6 (TT#4) :

(…) À noter un intéressant tableau des fanzines québécois par Lacroix.

 

Chimères 18, septembre 1992, p42 (TT#18) :

…toujours illustré par le prolifique Lacroix.

 

Courrier d’Arkham #4, printemps 1991, p49 (TT#9 et TT#10) :

(…) de nombreuses et splendides illustrations de Pierre Lacroix.

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H

Horrifique #4, août 1993, p4 (par André Lejeune) :

(…) Un petit compte rendu de mon séjour à Montréal. Je suis arrivé dans cette grande ville, tel « un étranger débarquant sur une autre planète » (c’est bien tes paroles ça, Pierre). J’ai rencontré le légendaire Pierre Lacroix dans son restaurant préféré. Surprise : Natasha Beaulieu (écrivaine) arrive à l’improviste avec son copain. Présentation de son fils (du fils de Lacroix) qui est plus grand que son papa. Pierre nous fait visiter (à sa résidence) son salon, sa chambre et son atelier de travail. Beaucoup de livres, de dessins, des vieux Creepy et naturellement, des Carfax.

 

(À propos de la revue Cité Calonne, p54) :

Il était certain, voire primordial, de voir la main de Pierre Lacroix, en plus de signer dès le premier numéro une chronique régulière qui concernera sûrement les publications et périodiques.

 

Horrifique #6, novembre 1993, p62 (par A. Lejeune) :

Pierre Lacroix dans le mythe de Cthulhu est surnommé « Celui-Qui-Est -Partout ». Il est parmi les Grand-Anciens du fandom québécois. Comme le dit si bien Christian Martin de Temps tôt : « On ne compte plus le nombre de parutions dans lesquelles on a pu voir son travail ».

 

Horrifique #7, janvier 1994, p46 (extrait d’une interview  de A. Lejeune avec Christian Martin) :

« …Je contactai alors, simultanément, Eddy Szcerbinski (revue CSF) et Marc Lemaire de la revue imagine… et leur fis part de mes projets (la publication d’une revue). Eddy m’encouragea vivement dans ma démarche et Marc me référa à Pierre lacroix. Pierre m’appuya dès le départ et me donna la marche à suivre pour mettre en branle un fanzine. Il me communiqua les adresses importantes ainsi que les coordonnées de plusieurs auteurs et illustrateurs. Mieux encore, il m’offrit de s’impliquer personnellement. Depuis, il a toujours été fidèle au poste et nous sommes, inutile de le dire, devenus des amis. »

 

Horrifique #8, mars 1994, p37 (par André Lejeune / à propos du recueil d’illustrations « Ricochet » de Lacroix) :

Dix ans après sa sortie, je découvre finalement ce livre impressionnant de notre Grand Manitou Pierre Lacroix. Mes mots ne rendront pas justice aux valeurs que j’éprouve de cet album d’illustrations, mais par contre, décrire son contenu sera chose plus simple. Et on commence… La préface est signée Jean-Guy Harvey, dont on a parlé justement dans le dernier numéro de Solaris, dans la section des fanzines; notes biographiques de l’auteur, est suivi d’anecdotes personnelles; « À propos de Lacroix » sont des extraits de lettres de personnages bien connus dans le milieu qui parle de Lacroix; une bibliographie non exhaustive de cette époque laisse songeur à ce qu’elle doit être aujourd’hui; les illustrations sont suivi d’un commentaire; quelques rares photos nous montrent un Lacroix plus jeune et qui a toujours garder son côté hippie ou bohémien. L’album Ricochet n’a pas vieillit avec le temps La nostalgie du temps demeure indélébile à travers ces pages. On y ressent même une certaine tristesse. Dans ces illustrations, il y a une grande partie de la vie de Lacroix. Si l’être humain n’est pas immortel, l’oeuvre demeure éternelle.

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I

Imagine… #11, hiver 1981, p31-32 (par Jean Pettigrew) :

«Exit», «Elles» et «Obsession», trois portfolios de Lacroix, sont parus. Le support matériel est bon : le papier utilisé est de l’épaisseur voulue et sa rigidité agréable. Ce qui l’est moins, c’est la qualité des reproductions. Ainsi, dans «Exit», les plages noires apparaissent légèrement délavées, ce qui nuit beaucoup au plaisir de l’œil. Dans «Elles», certaines lignes se dédoublent, comme si… serait-ce une technique proche de la photocopie? Si oui, il faudra faire très attention aux quantités de poudre afin d’avoir un noir toujours égal et des contrastes sans étalement ni bavure. Mais ce ne sont que des détails. Les premières réalisations comportent inévitablement quelques défauts. Il faudra simplement les corriger.

 

En ce qui concerne les illustrations, je ne voudrais pas me répéter. J’ai déjà dit au numéro 8-9 d’imagine… que Pierre travaillait vite. À Boréal 1981, j’ai été agréablement surpris par la qualité de son exposition. Preuve de grandes possibilités de Lacroix quand il se concentre sur son produit, pense sa composition et tyrannise son pinceau de course. Dans »Exit» et «Elles», la déception m’attendait : peu de composition et à nouveau ce sentiment de vitesse et d’inachevé. Dans «Obsession» cependant, on sent beaucoup plus d’atmosphère et la planche couverture, comme la planche 1 d’ailleurs, est à mon avis du bon lacroix.

 

Imagine… #13, été 1982, p122 (par Jean-Marc Gouanvic) :

C’est dès le numéro 4 que Pierre Lacroix a apporté son soutien efficace à imagine… Aujourd’hui, il travaille, avec des résultats encourageants, dans les domaines des arts graphiques et de la peinture, pour en vivre.  Inutile de dire que les lecteurs de la revue auront encore l’occasion de voir sa signature accompagnant un article ou un dessin. Bonne chance, Djada.

 

Imagine… #14, automne 1982, p141 (par J. Pettigrew) :

(À propos de la Galerie l’Étrange, à Québec) Le 5 janvier 1983, l’exposition sur l’illustration de science-fiction et fantastique au Québec par ses pionniers, soit Borgia, Giguère, Normand, Lacroix, Coulombe et cie. La Galerie l’Étrange, une première véritable percée pour les arts de l’Imaginaire québécois.

 

Imagine…#18, août 1983, p90 (par Michel Bélil) :

Pierre Lacroix est toujours aussi actif dans des sphères d’activités. Il vient de publier «Ricochet, œuvres complètes 1978-1983», avec plus de 175 illustrations en 64 pages, tirage limité à 100 exemplaires; «Femmes de rêves», 5 planches; ainsi que «Les bandes dessinées de Lacroix», 15 bédés.

 

Imagine… #47, mars 1989, p97-98 (par M. Lemaire) :

Pierre D. Lacroix a édité à compte d’auteur un nouveau recueil d’illustrations, «Chimères», cinquante-quatre illustrations et une préface de Daniel Sernine. Si certains dessins sont inutiles ou trop chargés, les femmes de Lacroix restent énigmatiques, tournant le dos, détournant le visage, exprimant une horreur dont le spectateur ignore la cause.

 

Imagine… #49, septembre 1989, p104 (par M. Lemaire) :

(À propos de CSF #4) : …Ajoutez à cela «Les Farfafouilles» de l’excellent Pierre D. Lacroix (…).

 

Imagine… #58, décembre 1991 (par Jean-Pierre April) :

(…) Octa, fanzine de Claude Dumont dont les couvertures des numéros 41 et 42 sont de Pierre Lacroix (…).

 

Imagine… #65, septembre 1993, p118 (par M. Bélil) :

(À propos de «Visages de l’Après-vie» de Claude Bolduc) : L’illustration intérieure et celle de la page couverture sont de Pierre D. Lacroix, artiste de la première heure et fanéditeur consacré.

 

Imagine… #68, juin 1994 (par M. Bélil) :

Je n’aimerais pas me retrouver dans la peau d’un de ces écrivains à grandes oreilles dont l’imprudence a été de commettre un texte en fantastique ou en science-fiction. Dans ces conditions, impossible de lapiner en paix. Je serais débusqué, pourchassé et tiré à bout portant par l’équipe de rédacteurs et de recherchistes. C’est d’autant plus vrai que le collectif (L’ASFFQ 1991) vient de recruter deux chasseurs de gibier émérites : Pierre Lacroix et Stanley Péan.

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L

Laplante, Michèle de (de la revue Réussite / extrait d’une lettre à Christian Martin / 21 mars 1992) :

« Temps tôt se révèle de plus en plus étoffé et diversifié. Enfin, j’en parlerai assez longuement dans Réussite de septembre. Il y aura aussi un espace pour Pierre Lacroix. Quel artiste. »

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